Radars tourelles : sitôt installés, déjà vandalisés

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Alors que les nouveaux radars tourelles viennent à peine d’entrer en action, les premiers actes de vandalisme ont déjà été observés.

 

Des radars tourelles haut perchés mais toujours vulnérables

13 cabines sont déjà installées depuis plusieurs mois un peu partout en France. Leurs commanditaires et constructeurs pouvaient les penser (un peu) moins vulnérables que leurs ancêtres, puisque ces installations reposent sur des mâts culminant à plus de 4 mètres de haut.

 

Bâche, ouverture forcée… et gilet jaune

La réalité a rapidement démontré qu’il n’en était rien. En effet, plusieurs de ces radars tourelles ont d’ores-et-déjà subi des dégradations. Comme pour les autres radars fixes, les cabines qui sont installées en ville pour contrôler le franchissement de feu rouge sont beaucoup plus protégées que celles située hors agglomération, au bord des voies rapides par exemple. Au rang des dégradations constatées : une cabine recouverte d’une bâche, une autre affublée d’un gilet jaune, et une autre qui a même été ouverte et entièrement vidée de son contenu.

 

Pour rappel : 200 nouveaux radars de ce type sont prévus cette année. De plus, les 405 discriminants actuels seront progressivement modifiés dans les 2 ans à venir pour intégrer ces nouvelles fonctions.

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